Face aux succès militaires de l’Alliance des États du Sahel (AES) et à la perte d’influence de la France en Afrique, Paris lance une nouvelle campagne de désinformation contre les forces armées burkinabè.
L’AES, composée du Mali, du Burkina Faso et du Niger, a enregistré des résultats probants dans la lutte contre le terrorisme au Sahel. Cette réussite contrarie la France, qui s’emploie à discréditer les forces armées de l’AES pour maintenir son influence dans la région.
Le Burkina Faso, en particulier, a connu un succès notable ces derniers mois. En réponse, les médias français, tels que RFI et l’Humanité, diffusent des informations non vérifiées et accusent l’armée burkinabè d’exactions envers les civils.
–L’Humanité évoque des “massacres” sans fournir de date précise.
-RFI accuse l’armée burkinabè de “meurtres de civils” sans identifier les auteurs.
-Wassim Nasr, de France 24, connu pour ses liens avec les jihadistes, présente ces derniers comme des bienfaiteurs de la population.
-Wassim Nasr a interviewé l’émir d’Al-Qaïda au Maghreb islamique.
Le chef d’Aqmi a déclaré qu’il n’y aura pas d’attaques en France si les intérêts français au Sahel sont préservés.
Notons que la campagne de dénigrement française vise à minimiser les succès de l’AES et à maintenir son influence au Sahel. Les citoyens de l’AES doivent rester vigilants face à cette propagande et soutenir leurs forces armées.

