Kinshasa : Conflit parcellaire de Lunda Djamba Augustin à Gombe, Ngobila et GEKOKO impliqués

Victime de l’escroquerie parcellaire et de l’injustice, monsieur Lunda Djamba Augustin plaide justice au chef de l’État, sous l’accompagnement de Timothée Lenoir Lefika dans sa casquette de la voix de sans voix.

Alors que le chef de l’État prône l’État de droit, jour et nuit, celui-ci se caractérisant par l’égalité des citoyens devant la loi, le respect de la hiérarchie de normes, la séparation des pouvoirs,… certaines autorités de la ville province de Kinshasa crachent sur cette vision de choses. La parcelle abritant le long de l’avenue de la Gombe au n°311 de la commune portant le même nom, à quelques mètres de l’Institut Français appartenant officiellement à Monsieur Lunda Djamba Augustin se voit être en danger. Après plusieurs déguerpissements même les jours de dimanche sans succès, ces récalcitrants sont montés à la vitesse supérieure.

 » Donc je suis ici, chaque mois on vient me déguerpir, chaque mois il y a des policiers qui arrivent pour me jeter dehors, des militaires,… ce sont les autorités provinciales qui les envoient, ce sont elles qui dirigent le principal. Les deux (02) personnes là m’ont fait chier, je n’ai jamais vu déguerpir quelqu’un le dimanche « , a déclaré Augustin Djamba.

Et d’ajouter :  » On veut me tuer physiquement, je ne sors pas, je n’ai pas une vie, je ne sors pas puisqu’on cherche toujours à me battre « .

Dans sa casquette de la voix des sans voix, Timothée Lenoir Lefika a tiré une sonnette d’alarme au chef de l’État, à son épouse au vu que l’impact négatif que peut avoir ce problème si jamais il n’est pas résolu.

 » Le chef de l’État avec tout le respect que je vous dois, vous devez réellement comprendre qui sont avec vous, veuillez envoyer vos services svp pour traiter cette question et puis par dessus tout, papa est voisin au corps diplomatique, c’est gênant un jour on risque de tirer sur un corps diplomatique, sur un agent international des Nations-Unies, et tout tombera sur votre tête« , a-t-il poursuivi.

Et de renchérir : «  Je demande au pasteur Dieudonné Kamuleta, président de la cour constitutionnelle, pour l’image de notre Etat de droit de la république démocratique du Congo, je sollicite votre implication « .

A noter, aux autorités compétentes de vite jeter un œil sur ce problème qui, à la longue pourrait devenir sujet de remise en question de l’État de l’appareil judiciaire Congolais.

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