Le président de la France Emmanuel Macron dit avoir été que « parcellaire », qui n’a pas mentionné dans son discours d’ouverture l’insécurité dans l’Est de la RDC lors de la tenue du 19ème Sommet de la Francophonie.
D’après lui, il y a beaucoup de situations de tensions et de guerre qu’il n’a pas citées. Mais, « j’ai passé une heure et demie avec le président Tshisekedi en tête-à-tête ». Et que donc, Félix Tshisekedi connaît l’engagement de la France sur ce sujet.
Le président Français que « la Francophonie reste mobilisée pour résoudre cette crise qui impacte gravement la RDC ».
« Nous réitérons ici notre solidarité. Nous condamnons la violence, les actions de tous les groupes armés opérant en RDC et les atteintes à sa souveraineté territoriale. Il n’y a pas d’ambiguïté sur ce point », tente-t-il de se rattraper.
Pour lui, l’insécurité dans l’Est de la RDC, « c’est le conflit pour lequel il a passé le plus de temps dans des réunions parallèles ».
« Nous appelons au retrait du M23 et des troupes Rwandaises. Au démantèlement des FDLR, de tous les groupes armés en RDC et à l’arrêt des discours de haine », a-t-il ajouté.
La France appelle aussi à la reprise d’un processus politique avec le M23 pour permettre le retour de la souveraineté territoriale pleine et entière. « Il n’y a, très clairement, pas de double standard dans la démocratie de la France », a-t-il chuté.

