Élections législatives et présidentielles en Namibie : le Chef de la SEOM engage les parties prenantes dans le cadre de ses consultations avec divers acteurs politiques et électoraux

Mardi 19 novembre 2024, la chef de la Mission d’observation électorale de la SADC (SEOM) pour les élections présidentielles et législatives en République de Namibie, l’honorable Anne Semamba Makinda, a engagé les principales parties prenantes dans le cadre de ses consultations avec divers acteurs politiques et électoraux à l’approche aux élections présidentielles et législatives du 27 novembre 2024.

Avant de présider le lancement de la SEOM le 20 novembre 2024, Makinda a rendu une visite de courtoisie à Mme Rebecca IIyambo, directrice exécutive par intérim au ministère des Relations internationales et de la Coopération de la République de Namibie. Le chef de mission était accompagné du Secrétariat de la SADC, du Conseil consultatif électoral de la SADC (SEAC) et des membres de la Troïka de l’Organe, à savoir le Malawi, la République-Unie de Tanzanie et la Zambie.

Le Directeur exécutif par intérim a accueilli le chef de la mission et son équipe en République de Namibie et a assuré le chef de la mission du soutien du gouvernement pour faciliter le travail de la mission. Elle a déclaré que le travail de SEOM contribue non seulement à renforcer la confiance du public dans le processus électoral, mais contribue également à la stabilité et au développement global des États membres.

La Chef de mission et son équipe ont également rencontré la police namibienne et les ambassadeurs et hauts-commissaires de la SADC accrédités auprès de la République de Namibie.

Au cours de la réunion avec la police Namibienne, le chef de mission a été informé de la situation sécuritaire et de l’état de préparation de la police Namibienne avant, pendant et après les élections présidentielles et législatives. La police a indiqué que l’environnement est relativement paisible et stable et que les campagnes politiques se déroulent de manière libre et pacifique. Il n’y a pas de « zones interdites » dans toutes les régions.

L’engagement du chef de mission auprès d’un large éventail de parties prenantes électorales vise à acquérir une compréhension plus approfondie, entre autres choses, de l’environnement politique et sécuritaire relatif au processus électoral.

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